Dans ce centre suisse 495 patients ont bénéficié de transplantation pulmonaire entre 1992 et 2017 principalement pour muco, BPCO et PID, 43% étaient d’anciens fumeurs. L’étude s’intéresse aux 17 patients qui se sont (re)mis à fumer après la transplantation. Cette (re)chute était plus fréquente en cas de BPCO et de sevrage plus récent. Un index est d’ailleurs utilisé, construit
sur le modèle du paquet-année : le « pack year cessation index » en anglais, qui est le nombre de paquets années divisé par la période de sevrage avant la greffe (en mois). Plus cet index est élevé plus le patient risque de refumer. Pourtant "fumer nuit gravement à la santé"… en particulier chez le transplanté (rejet, cancer…) - Dr Olivier Brun -
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