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Cette étude galloise évalue les liens entre pollution et fonction respiratoire de plus de 500 prématurés (nés à la 34eme semaine de grossesse ou avant). L'exposition à quatre polluants (PM 2.5, PM10, NO2, SO2) a été étudiée dans 3 populations de prématurés (23-28 semaines de grossesse, 29-31, 32-34) avec pour paramètre spirométrique la capacité vitale forcée entre 7 et 12 ans. Les résultats confirment si besoin en était que plus la prématurité...
William John Watkins et al.Une étude européenne (la MEDEA study) a été menée à Chypre où l'exposition aux poussières de sable est particulièrement notable du fait de la proximité avec l'Afrique du Nord. Il s'agit d'une étude randomisée prospective ayant inclus 182 enfants asthmatique d'école primaire (âge moyen 9 ans et demi). Un tiers formait le groupe contrôle, un tiers le groupe "extérieur" qui bénéficiait de recommandations en cas de tempête de sable, et un...
Panayiotis Kouis et al.De nombreux pesticides, notamment des herbicides, des fongicides et des insecticides, sont largement utilisés dans diverses industries, et leur réglementation varie selon les pays. Les principales voies d'exposition humaine aux pesticides sont cutanées, orale et respiratoire, toutes ayant démontré des impacts sur la santé. Des études multiples ont évalué le lien entre l'exposition professionnelle et environnementale aux pesticides et des maladies respiratoires telles que la BPCO et l'asthme. Un rapport d’expertise...
Jestin-Guyon, N. et al.L’aspergillose bronchopulmonaire allergique (ABPA) est une inflammation bronchique rare causée par des réactions immunitaires contre des champignons, principalement Aspergillus fumigatus. Elle se manifeste souvent chez les personnes ayant des antécédents de maladies respiratoires comme l'asthme, la DDB ou la BPCO. Son diagnostic est crucial en cas de symptômes persistants malgré un traitement adéquat ou d'exacerbations fréquentes. Les critères diagnostiques établis par le groupe de travail ISHAM en 2013...
Agarwal Ritesh et al.Commenté par : Dr Mathilde Oranger
À partir des données de la cohorte SPIROMICS portant sur des patients atteints de BPCO, les effets de la haute altitude ont été analysés chez ceux vivant à plus de 1500 mètres, où la pression partielle en oxygène est réduite : aucune différence dans les symptômes ni dans le déclin du VEMS, mais diminution des capacités à l'exercice (TM6).
Lire l'articleSuri Rajat et al. - American journal of respiratory and critical care medicine 2024 Mar